写着和活着 写着和活着
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un peu de francais j'ecris J’étais à ma place dans un bus quand je sentais que je necrains pas de mourir pour la première fois dans ma vie. On était environ 40camarades pour le voyage à la fin de lycée dans la voiture circulant sur laroute d’une montagne de Pekin. Plus précisément, j’étais à ma place a cote d’une fille, côteà côte. Raisonnablement elle était ma copine, mais très peu de personnedans ma classe nous connait cette relation. Au contraire de regarder le paysagedes arbres sur la montagne, je sentais très malade en voiture que j’avais mêmeenvie de vomir. En réalité, dès que je sentais malade en voiture, j’arrêtaisde voir vers dehors, et après 30 minutes, quand je trouvais le bus circulaitencore dans la même montagne, je fermais alors mes yeux, et ne parlais plus.Laseule chose je pouvais encore sentir était l’épaule de la fille. Le temps n’estpas froid, mais je sentais vachement bien avec la température entre nous. Le bus circulait encore et je continuais à être malade, j’avaismal à la tête. Tout un coup, je remarquais que le seul moyen de finir cettemaladie est que le bus tomber vers le fond de la montagne. Bien évidemment,moi, elle, et le bus vont tous mourir dans ce cas, mais moi bizarrement, pourla première fois et la seule fois dans ma vie, je n’avais pas peur. 20 ans après, je ne me souviens plus aucun détail de cevoyage, et la seule chose reste entre moi et la fille est juste la températureque je ne connais plus la dégrée. A l’époque, j’avais 17 ans, et la montagne surlaquelle le bus circulait a un nom très correct, Ling Shan, montagne de l’âme.
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